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Bienvenue dans la section maçonnerie et transformation.

 

   

Actualité du bâtiment

Malheureusement, cette année marque le retour au taux de 21% de TVA pour les nouvelles constructions.

   

 

   

Dernières références

Une façade en briques Desimpel Retro Tiffany à La Louvière.

Une installation de 30 panneaux photovoltaïques à Sivry.

Une installation de 12 panneaux photovoltaïques à Colfontaine.

Visitez la galerie de photos pour découvrir nos dernières réalisations !

   

 

   

Evénements récents

Congés du bâtiment en décembre 2010 - Janvier 2011

   

 

   

Maçonnerie et gros-œuvre

La section maçonnerie est divisée en plusieurs chapitres bien distincts :

  1. La construction
  2. La transformation
  3. La brique de façade
  4. Le jointoiement

 

 

  1. La construction

Un gros-oeuvre en constructionOn entend par gros-œuvre l'élévation maçonnerie d'un bâtiment : blocs, briques, pierres bleues, linteaux, etc. Le gros-œuvre fermé comporte en plus la toiture et les châssis.

Le gros-œuvre se réalise toujours sur base de plans d'architecte et d'un cahier des charges. Dans le cas d'une petite annexe ne dépassant pas les limites autorisées par l'urbanisme, on peut se baser sur un plan élaboré par nos soins, selon vos gouts et vos attentes.

 

Mais que ce soit sur base de plans d'architecte ou sur base de nos propres plans, les nouvelles constructions et/ou annexes doivent respecter un cahier des charges bien précis.

 

 

 

  2. La transformation

La petite transformation ne requiert pas nécessairement l'aide d'un architecte. Elle consiste le plus souvent en l'agrandissement ou la création d'une baie, d'une arcade ou d'une petite annexe à l'arrière d'un bâtiment existant. Pour cette dernière, une simple demande à l'urbanisme de votre commune devrait suffire. Il faut toutefois veiller à ne pas dépasser les limites autorisées par la loi.

 

La grosse transformation nécessite généralement des plans d'architecte. Elle consiste en l'ajout de nouvelles pièces de vie ou la transformation complète d'un bâtiment ; de l'électricit�� en passant par l'égouttage, le carrelage, l'isolation, la toiture, etc.

 

Comme pour un gros-œuvre, la transformation intérieure est tenue de respecter un cahier des charges bien précis.

 

 

 

  3. La brique de façade

Une façade aux couleurs ternes, rongées par les intempéries et la saleté... Il n'en faut pas plus pour enlever tout charme à votre maison. La façade est en quelque sorte sa carte de visite. Elle mérite donc toute votre attention. Deux solutions s'offrent vous :Une brique de faade Vandersanden

 

  1. Enlever mécaniquement une demi-brique et maçonner une nouvelle brique de façade. Une façade en bon état n'est pas seulement plus belle. Elle résiste mieux aux intempéries et augmente la valeur de votre maison. Et peut-être avez-vous droit à une prime qui réduira d'autant votre investissement final. Autant de raisons pour vous inciter à lui jeter un coup d'œil critique.
  2. Nettoyer votre façade par la technique du sablage. Il existe plusieurs méthodes de sablages : mécanique, chimique ou simplement l'eau. La méthode employée dépendra du type de revêtement existant, de la qualité des briques, de sa tenue, sa porosité et sa solidité.

 

Malheureusement, une façade fraîchement rénovée ne conserve pas éternellement sa beauté puisqu'elle reste exposée au vent, à la pluie et à la poussière.

Si vous ne lui apportez aucun traitement, elle se salira à nouveau. Vous pouvez éviter cela par un traitement préventif après nettoyage : appliquer une couche imperméabilisante qui empêchera l'eau et la saleté d'imprégner les murs. L'eau se contentera de s'y perler.

 

 

 

  4. Le jointoiement

Un jointoyage en montantPour une maçonnerie traditionnelle, la technique de jointoiement détermine en grande partie l'aspect de la construction. Les joints comptent pour 25 % de la superficie de façade. A l'heure actuelle, on opte volontiers pour un mortier de ciment de la même teinte que la brique de façade. L'effet des joints va même bien au-delà de la seule couleur. Si le joint est lissé ou brossé, ou s'il s'agit d'un joint en creux ou saillant, les effets d'ombres changent.

 

La technique de jointoiement la plus couramment utilisée pour une maçonnerie de parement est le rejointoiement. Dans ce cas, on attend que la maçonnerie soit complètement durcie avant de rejointoyer. Il faut compter deux semaines au moins, mais cela peut prendre aussi des mois. Plus on retarde le jointoiement, moins il y aura de risques de rétrécissement ou de fissures de tassement. Les efflorescences apparaitront ainsi moins facilement, étant donné que la façade aura eu suffisamment de temps pour évacuer l'humidité accumulée pendant la construction.

 

Une autre technique pour la maçonnerie portante consiste à 'rejointoyer en montant' ou 'rejointoyer au fur et mesure'. Dans ce cas, le jointoiement est exécuté au fur et mesure que le mur est monté, avant même que la maçonnerie n'ait le temps de durcir. Ce qui fait gagner énormément de temps. Mais comme on utilise le même mortier que pour la maçonnerie, le choix des teintes est limité. On court aussi le risque d'avoir des différences dans les teintes des joints, ce qui est important en cas de maçonnerie intérieure laissée apparente. En fait, cette méthode de rejointoyage n'est utilisée que pour la maçonnerie qui ne sera pas apparente, comme les cloisons ou les murs en blocs.

 

Jointoyer par temps de pluie, grand vent ou juste avant une période de gel est fortement déconseillé. Par beau temps, la façade sera jointoyée au moment où elle se trouve à l'ombre. Ainsi on évite que le mortier de jointoiement ne sèche trop rapidement. Le processus de séchage peut être ralenti en aspergeant la maçonnerie d'eau ou en la recouvrant.